FRANS POURBUS le Jeune (Anvers, 1569 - Paris,... - Lot 331 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien

Lot 331
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150000 - 200000 EUR
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Résultat : 730 000EUR
FRANS POURBUS le Jeune (Anvers, 1569 - Paris,... - Lot 331 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien
FRANS POURBUS le Jeune (Anvers, 1569 - Paris, 1622). Portrait d'un homme âgé de cinquante-six ans. Panneau de chêne parqueté. 101,5 x 76 cmSigné en haut à droite: F.POURBUS FIL, FR, FECIT, Annoté en haut à gauche: ANO DNI 1591 et à droite: AETATIS SUAE 56 Infimes petits manques et restaurations anciennes Provenance: Collection des comtes de Schönborn (décrit, selon Thoré-Burger, dans le catalogue de 1719; n° 532 du catalogue de 1857). Vente de la galerie de Pommersfelden, Paris, Hôtel Drouot (Me Pillet), 17-18 et 22-24 mai 1867, n° 201 (11000 fr.) ; catalogue rédigé par Théophile Thoré (alias William Burger). Vente Paris, galerie Charpentier, 15 décembre 1959 (succession Mrs. R. Biddle et divers), n°27, (1 000 000 fr.) reproduit pl. XIV. Galerie Heim, Paris, 1962. Acquis en 1963 par les propriétaires actuels. Bibliographie : - Gustav Parthey, Deutscher Bildersaal. Verzeichniss der in Deutschland vorhandenen Oelbilder verstorbener Maler aller Schulen, Berlin, Nicolaische Verlagsbuchhandlung, 1864, vol II, p.279, n°8. - Ludwig Burchard, "Pourbus, d. J." in Ulrich Thieme et Felix Becker, Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart, Leipzig, 1933, 37 vol., vol XXVII. - Blaise Ducos, Frans Pourbus le Jeune (1569-1622). Le portrait d’apparat à l’aube du Grand Siècle entre Habsbourg, Médicis et Bourbons, Dijon, Faton, 2011, pp.33-35, détail du visage en pleine page p.34 fig.9 et pp. 185-186, P.A 4 (localisation inconnue), repr. Oeuvre en rapport: Portrait d'une dame âgée de cinquante-quatre ans, panneau, 100 x 74 cm, San Francisco, Fine Arts Museums of San Francisco, California Palace of the Legion of Honor, inv. 1985.12. Frans Pourbus le Jeune, reçu maître à la Guilde de saint Luc d’Anvers en 1591, travaille à la cour des Habsbourg dès la fin des années 1590. C’est là que Vincent Gonzague lui demande de le suivre à Mantoue, en 1599. Appelé à Paris en 1609 par Marie de Médicis, il y devient peintre de la cour et y reste jusqu’à sa mort en
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