Ensemble de 12 volumes, dont 10 dédicacés à Louis Seigner. ( - Lot 32

Lot 32
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Estimation :
300 - 400 EUR
Ensemble de 12 volumes, dont 10 dédicacés à Louis Seigner. ( - Lot 32
Ensemble de 12 volumes, dont 10 dédicacés à Louis Seigner. (Etat moyen). Un ouvrage de Paul Fort sans dédicace et un ouvrage également de Paul Fort dédicacé avec long texte manuscrit à Egbert Scholder. François Mauriac « Les anges noirs » - (un de28 exemplaires sur vélin d’arche, celui-ci numéroté III). Exemplaire portant une charmante dédicace à Louis Seigner. « Puisque je n’ai pas d’Asmodée à vous offrir, vous trouverez ici l’histoire d’un autre "Ange noir", M. Couture ! », exemplaire daté de 1947. Marie Marquet « Cellule 209 » - (manque le dos). Jean-Pierre Cartier « Théâtre » - (daté juillet 1940, exemplaire non coupé). Philippe Hériat « Les noces de deuil » - Exemplaire non coupé. André Marie « Tartuffe, acte VI, un acte d’impertinence en vers », portant cette dédicace « Avec les sentiments les plus cordiaux d’un impertinent ». Valéry Giscard d’Estaing « Démocratie française » - (daté novembre 1976), portant cette dédicace, « Pour Monsieur Louis Seigner, dont le talent honore la première scène française ». René Maublanc « le dialogue des morts » - avec cette dédicace « A Louis Seigner, comédien intelligent, qui fut un noble et fin Racine… ». Jules Romains « Paris, des hommes de bonne volonté », (un des 20 exemplaires numérotés de 1 à XX sur pur fil d’arche, celui-ci numéroté X, daté Novembre 1951) - portant cette dédicace « A Louis Seigner, (dont je sais qu’il est un connaisseur de Paris) à l’artiste plein de force et d’authenticité (qui nous oblige à nous "pincer pour ne pas y croire") ». Paul Fort « Ysabeau » - « A mon cher Seigner, qui se fit le chevalier d’Ysabeau, en hommage à son beau talent ». Paul fort : Un exemplaire dédicacé avec long texte autographe signé à Egbert Scholder (juin 1929) - « Quartier Latin » - couverture détachée. Texte de 9 lignes, intitulé « Confidence ; « J’ai vu la fée un jour au bord de mes vingt ans, et de l’avoir vue fuir je pleure en mon vieux temps… ». Romain Declat « Orcus drame épisodique en vers » - (daté 1937). Paul Fort « Anthologie des ballades françaises », sans dédicace.
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