ARCHIVE Roderic O’CONOR. Peintre et graveur... - Lot 10 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien

Lot 10
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ARCHIVE Roderic O’CONOR. Peintre et graveur... - Lot 10 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien
ARCHIVE Roderic O’CONOR. Peintre et graveur irlandais, Rodéric O’Conor (1860-1940), rejoignit grand nombre d’artistes de l’École de Pont-Aven, déjà fréquentée par de nombreux artistes français et étrangers. Il se lia d’amitié avec Paul Gauguin, Charles Fiiger, Armand Seguin, pour n’en citer que quelques uns. Il épousa en 1933, Renée Honta, son ancien modèle et peintre (1894-1955).Roderic O’CONOR - Ensemble de plusieurs documents - Lettre autographe signée en anglais à Mr O’Connell Fitz Simon. Paris, 3 janvier 1933. 1 p. in-4. A propos des documents qu’il a adressés au Consulat Irlandais en lui expliquant la raison pour laquelle, il ne lui avait pas envoyé directement les documents avant, étant confiné à la maison à cause d’une grippe. Il lui a été précisé que les timbres (fiscaux) étaient suffisants pour couvrir les charges du Consulat.- Lettre autographe signée à sa chère petite amie [à Renée Honta, qui deviendra son épouse]. 5 octobre 1916. 4 pp. in-8. Jolie lettre. Il la remercie pour les photos qui lui ont fait le plus grand plaisir et sa dernière lettre, dans laquelle tu me grondes à propos de ma paresse. Mais pendant que tu grognais il devait avoir une lettre qui t’attendait par là. Je t’ai envoyé deux paquets de livres par la poste hier. Je les ai adressés Poste restante à Pau parceque je ne pouvais pas me rappeler ta nouvelle adresse chez tes parents et je ne voulais pas attendre jusqu’à aujourd’hui pour les expédier sachant qu’il y a une petite fille là-bas qui les attends avec des trépignements d’impatience… . Il lui signale qu’il a arrêté sa chasse aux ateliers pour le moment sans rien trouver de mieux que celui-ci. Ceux que j’ai vus sont tous trop petits… . - Dessin au lavis d’encre de Chine. Portrait de Roderic O’Conor, titré de son nom dans la composition.- Passeport de Roderic O’Conor, et de son épouse Henriette Marie, née Honta, daté du 12 avril 1933. Document signé par les deux.- Carte d’Identité concernant les époux O’Conor, avec informations relatives aux changements de domiciles, daté du 25 juin 1935.- Avis de décès du peintre survenu le 18 mars 1940.- Extrait du registre d’immatriculation à l’en-tête du département du Finistère pour Roderic O’Conor, signé par le maire de Clohars-Carnoët, daté du 12 octobre 1893, notifiant son arrivée dans cette commune le 2 octobre 1893, et exerçant la profession d’artiste peintre, célibataire. (Imperfections et déchirure longitudinale). - Ensemble de nombreuses lettres dont 5 lettres adressées à Roderic O’Conor, par l’avocat John O’Connor, au sujet d’un projet de loi qui sera présenté à la chambre des Communes, au sujet de la réintégration des locataires expulsés afin d’assurer le paiement d’une partie de leurs terrains, plusieurs autres lettres d’amis ou confrères, lettres rédigées parfois en anglais, certaines incomplètes. Est joint à cet ensemble divers documents concernant Henriette Marie Renée HONTA, (1894-1955), qui fut le modèle et l’épouse de Roderic O’Conor, composés de plusieurs documents relatifs à l‘enterrement de son mari Deux minutes autographes de lettres, concernant la location de sa villa, ainsi que deux lettres concernant la mise à jour de sa notice afin de pouvoir actualiser son activité de peintre pour les années 1934, 1935 et 1936 dans Le livre des Peintres Exposants , devant paraître au moment de l’exposition Internationale de 1937, l’une étant signée par le directeur de ce périodique Eugène Hoffmann.On joint en plus deux dessins d’études au crayon : tête de femme et femme en partie dénudée, divers documents, et photos, une très longue lettre de reproches et de mise au point adressée à elle, par une de ses anciennes amies ou connaissances (24 pp. in-8). Ensemble de nombreuses lettres dont une cinquantaine de lettres adressées en anglais à Roderic O’Conor, par son avocat à Dublin John O’Connor, au sujet de divers litiges, dont celui de 1894/1895 avec un certain Flanagan, de différentes affaires de successions et d'affaires immobilières, dont un projet de loi qui sera présenté à la chambre des Communes, au sujet de la réintégration des locataires expulsés afin d’assurer le paiement d’une partie de leurs terrains, etc. On trouve également plus de 100 lettres en anglais de l’agent, homme d’affaires et conseiller d’O’Conor, G. Clarke (de 1893 à 1901), où il est souvent question également d’affaires immobilières, de rentes, de ventes de domaines et de loyers perçus. Il y est aussi question de propositions d’investissements. A noter que l’avocat et le conseiller sont en permanente relation et communication, afin de pouvoir assurer le meilleur service lié aux affaires du peintre. Plusieurs autres lettres d’amis ou confrères, lettres rédigées souvent en anglais, certaines incomplètes, sont jointes à cet ensemble.
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