QUATRE ATELIERS d'ARTISTE : Maxime FILLON-Jacques GAULME-Hélène BEAUDON-GAULME-Edmond QUINTON - VENTE EN LIVE SUR INTERENCHERES.COM

jeudi 02 mars 2023 14:00
Enghien-les-Bains , 2, rue du Docteur-Leray 95880 Enghien-les-Bains
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Jeudi 2 mars à 14h


Quatre ATELIERS d'ARTISTE



Edmond QUINTON (1892-1969) Peintre

Hélène BEAUDON-GAULME (1914-1997) Peintre, graveur

Jacques GAULME (1914-1998) Peintre

Maxime FILLON (1920-2003), Sculpteur, peintre


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1-Edmond QUINTON (1892 – 1969) est un peintre français, dessinateur et graveur. Il se forme auprès de son père, Clément Quinton déjà peintre de renom. Ses paysages bucoliques, à cheval entre le naturalisme et l’impressionnisme, ont la simplicité révélatrice d’une grande maîtrise. En quelques touches assurées, il immortalise la campagne française et se place parmi les peintres majeurs notamment de la Vallée de la Marne. 

Il pratiqua le dessin, la peinture et la gravure au court la première moitié du XXe siècle. Issu d’une dynastie de peintres naturalistes à la manière de Jean-François Millet, il se forme auprès de son père peintre, Clément Quinton.

Edmond Quinton est avant tout un paysagiste et animalier. il sillonna toute la France et représenta notamment Paris, la forêt de Fontainebleau, toute la campagne française, de la Provence et notamment de Vaison ou d'Aix, et des Alpes, les côtes rocheuses de Bretagne, la Normandie, ou l’Alsace.


2-Hélène BEAUDON-GAULME (1914-1997) Peintre, graveur, mariée le 9 août 1945 à Cognat-Lyonne (03) à Jaques Gaulme

née le 9 novembre 1914 à Espinasse-Vozelle (03) décédée le 31 juillet 1997 à Montluçon

peintre, graveur et photographe (Studio Harcourt) ; signant « Hélène Beaudon-Gaulme » après son mariage

Elève de l'Ecole des beaux-arts de Paris (atelier de Paul Lemagny) ; logiste du concours de Rome de gravure 1944

Exposition rétrospective :

Maison Mousse, Hérisson (03), 20 juin-1er juillet 2009

Ils ont tous deux fini leur vie à Hérisson (03) que peignit Henri Harpignies (1814-1916) et dont la salle municipale polyvalente porte le nom d' « Espace Jacques Gaulme »

Descendance :

Armel Gaulme, illustrateur (né en 1981)


3-Jacques GAULME (1914-1998) est un peintre, décorateur, scénographe ; chevalier des Palmes académiques

né le 9 juillet 1915 à Bizeneuille (Allier) décédé le 8 avril 1998 à Montluçon

Elève de l'Ecole des beaux-arts de Tours puis de Paris (atelier de Charles Guérin)

Professeur de Décoration/Scénographie à l'Ecole nationale des arts et techniques du théatre (ENSATT) ou “Centre d'art dramatique”, “21 rue Blanche” à Paris (9e) de 1951 à 1980 ; chargé du cours de maquillage de théâtre au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, Paris de 1968 à 1975

Ouvrages :

La bohème au demi-siècle, roman, Paris, Editions SIC, 1957, prix de l'Académie du Vernet (Vichy), 1957; réédition Paris, L'Harmattan, 2011

Maquillage de théatre, Paris, Magnard, 1978

Architectures scénographiques et décors de théatre, Paris, Magnard, 1985

Exposition rétrospective :

Chateau de La Louvière, Montluçon, 17 mars-22 avril 2007

Références bibliographiques : http://gaulme.free.fr/page2.html; https://data.bnf.fr/fr/11904348/jacques_gaulme/


4-Maxime FILLON (1920-2003), Sculpteur, peintre

UNE GRANDE PARTIE DES OEUVRES SCULPTEES PRESENTEES A LA VENTE SERONT VENDUES AVEC LEUR MOULE PERMETTANT L'EDITION, ET AVEC LE DROIT DE TIRAGE AFFERENT. LES MOULES VENDUS SEULS EN FIN DE VENTE, SERONT EGALEMENT VENDUS AVEC LEUR DROIT DE TIRAGE.

Quelques repères chronologiques

. 1942/1945 : suit les cours aux Beaux Arts et, parallèlement. attiré par la renommée de l'Académie de la Grande Chaumière, il travaille à l'Atelier DESPIAU qui fût élève de RODIN, dont il devient rapidement CHEF D'ATELIER. Là il étudie le nu et le portrait 

"L'ambiance était marquée par l'exigeance et la rigueur mais qui, "toutefois, n'excluait pas la fantaisie". 

. 1945/1958 : il demeure à la Grande Chaumière, Chef des Ateliers BRAYER (dessin, peinture) et KRETZ (Sculpture). 

"J'éprouvais le besoin de dessiner, car le dessin vous oblige à "regarder, à regarder pour voir, et au commencement, à voir la "pauvreté de nos perceptions". 

A partir de 1958 il reçoit des élèves dans son propre atelier. Il devient de plus en plus sensible à cette évidence : 

« Qu'une relation juste ne se manifeste que dans un échange vivant, créateur. L'élève vous force à aller plus loin, à communiquer, à se donner donner pour recevoir, recevoir pour encore mieux "donner ». 

Parallèlement à l'enseignement il expose : 

A LA DEMEURE : Jean LURCAT ayant remarqué ses sculptures demande que plusieurs d'entre elles soient présentées avec les tapisseries exposées. 

A FLORENCE, BRUXELLES, sous l'égide du Ministère de l'Industrie et du Commerce 

1963/1964 : il expose deux années consécutives à LA MAISON DES METIERS D'ART à Paris. 

Sous l'égide du Ministère de la Culture (M. André MALRAUX), il expose de nouveau à FLORENCE et reçoit le Diplôme d'Honneur pour l'ensemble de ses oeuvres. 

Exposition à l’HOTEL DE SENS organisée par le Ministère de la Culture. 

"Pendant

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