Etienne GEOFFROY SAINT-HILAIRE. 1772-1844.... - Lot 52 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien

Lot 52
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Estimation :
1500 - 2000 EUR
Etienne GEOFFROY SAINT-HILAIRE. 1772-1844.... - Lot 52 - Goxe - Belaisch - Hôtel des ventes d'Enghien
Etienne GEOFFROY SAINT-HILAIRE. 1772-1844. Naturaliste. 23 L.A.S. (à son neveu Louis Geoffroy-Chateau) et 2 billets. 1833-1837. 39 pp. divers formats in-8 et in-12 dont 3 avec en-tête de l’Institut avec vignette à la Minerve, adresses au verso. 1833-1834 à propos de la publication d’un long article par un de ses élèves qu’il a soutenu , Il m’a fallu autant de courage que de volonté pour faire avaler des idées de progrès, une philosophie qui domine toutes les spécialités de toutes nos académies, à des gens emboîtés dans une science ou une demi-science. J’ai fait enrager quelques uns qui se trémoussaient sur leurs chaises (...). Mentionnant Chaptal, de Wailly, et la visite d’un éminent chimiste anglais chez Raspail, à propos des mémoires de Cuvier qui sont vendus chez Fournier, évoquant l’entrée d’Isidore à l’Académie des Sciences , sur l’accouchement de la duchesse de Berry , demandant à son neveu de l’aider dans une affaire d’héritage , description d’un voyage en train à vapeur , détail sur Alexandre Dupré inspecteur des salines , 1835-1837 : sur sa retraite à St-Thibault près Lagny, les visites d’Isidore, plusieurs nouvelles de famille. Invitation à une « réunion égyptienne » à l’instigation de Jomard, où St-Hilaire souhaite convier des anciens compagnons de la campagne d’Egypte, Dode, Bertrand, Michaux, Bachelu. A propos de divers articles de presse, sur l’avancement du Dictionnaire de la conversation , (...) le libraire n’en vend qu’aux souscripteurs (...). Le mot « Cuvier » est là avec 70 colonnes que j’ai sous les yeux (...). Il va participer à divers articles, il a promis « le mot nature ». Il adresse à son neveu copie d’une recommandation faite au ministre , anecdote sur l’irrévérence d’un « sauvage tatoué de la nouvelle Zélande » devant le roi ou la visite de Balzac : L’homme propose et Dieu dispose. C’est le seigneur Balzac qui fut ce dieu , il m’a pris et je l’ai conduit dans les jardins (...). Mentionnant Carnot, de Schonen, Barthe, Persil, invitation de
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